mercredi 21 mars 2018

DANS UN JUGEMENT SPECTACULAIRE UN JUGE DÉNONCE LES MÉTHODES DE REVENU QUÉBEC




Lire le Jugement ICI :

https://www.canlii.org/fr/qc/qccs/doc/2018/2018qccs722/2018qccs722.pdf


Il s'agit de la plus grosse saisie de l'histoire du Service de police de Sherbrooke.

Le juge condamne Revenu Québec.

a)CONDAMNE la défenderesse Agence du Revenu du Québec 100 000 $ à titre de dommages-intérêts punitifs, avec les intérêts

b)AVEC FRAIS au demandeur.


QUELQUES POINTS INTÉRESSANTS.

1) les enquêteurs de Revenu Québec ont ouvert des boîtes sous scellés;

2) le juge reconnaît d'emblée que les pouvoirs de l'ARQ ne sont pas illimités.

3) l'ARQ ne pouvait sans autorisation judiciaire exiger que Sylvain Brochu lui fournisse sans délais  les renseignements et les documents demandés.

4) on ne peut confondre documents personnels et documents commerciaux.

5) pour fournir des renseignements personnels, cela ne peut se faire sans délai raisonnable fixe.

6) un pouvoir discrétionnaire, fut-il, celui de Revenu Québec (ARQ), n'est jamais absolu.

7) l'absence de délai pour produire des documents, comme ce fut le cas, rend les demandes péremptoires, abusives. (98). D'autant plus qu'il s'agissait d'une période de 15 ans.

8) l'ARQ a procédé à une perquisition sans autorisation judiciaire (101)

9) Il faut absolument que les agents de l'ARQ cessent d'agir en pensant que tout leur est permis (191)





lundi 19 février 2018

MONTRÉAL L'A FAIT, POURQUOI PAS QUÉBEC ET OTTAWA?


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La nouvelle administration de la ville de Montréal vient de porter un grand coup; elle vient d'abolir les quotas de contraventions et les primes accordées aux cadres qui en supervisaient l'exécution!


À Québec, les bonis de rendement de 3,5% pour les employés du Ministère du Revenu existent toujours, malgré les promesses de les abolir au lendemain des reportages qui les avaient dévoilés. Voir plus bas, nos articles sur le sujet. 

À Ottawa, nous avons dévoilé en scoop il y a quelques semaines, que les cadres supérieurs de la fonction publique fédérale du ministère du revenu, pouvaient toucher des primes ou suppléments de revenus et des bonus, pouvant représenter jusqu'à 26% de leurs salaires annuels. Pour un cadre supérieur, cela peut représenter plus de 50,000$. par année. Voir nos articles plus bas sur ce blogue. 






lundi 12 février 2018

APRÈS 6 ANS, ULTIMATUM À REVENU CANADA



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Il semble s'avérer qu'il y a une énorme différence, de plusieurs dizaines de milliards de dollars, entre les revenus qui sont dus à Revenu Canada, et ceux qui sont effectivement perçus. 

On appelle ça l'écart fiscal! La tolérance s'exerce à l'égard de qui et dans quelles circonstances, il serait intéressant de le savoir. 

Et au final, sur un horizon de 5 ans par exemple, qu'arrive-t-il? Des intérêts à la tonne? Et Revenu Canada y trouve-t-il son compte? Autant de questions soulevées par ce débat. 






mardi 6 février 2018

REVENU QUÉBEC VIENDRA CHERCHEZ 700$ MILLIONS AUPRÈS DES CONSOMMATEURS QUÉBÉCOIS

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Ce sont les consommateurs québécois qui vont payer, non les Amazon, les Netflix et les Google. Mais les journalistes n'en disent mot. On présente le  communiqué du ministère du REVENU du Québec comme s'il s'attaquait aux "gros" alors qu'on s'attaque aux consommateurs,aux "petits".









LES TAXES DE M. LEITAO: ne soyons pas dupes ce sont les consommateurs québécois qui paieront le 700M$ au Ministère du Revenu du Québec. Pas Google, Amazon, Netflix, ebay ou Facebook.


REVENU QUÉBEC: qui va payer? RÉPONSE: le consommateur québécois. Ou sont les associations pour la défense des consommateurs québécois? Avec qui couchent-elles? Le ministère du Revenu du Québec ou les consommateurs dont elles sont supposées prendre la défense? Et sont-elles subventionnées par le Gouvernement du Québec? Ce qui pourrait expliquer leur silence sur une question de 700$ millions.



mardi 30 janvier 2018

REVENU CANADA: AVEC LEUR RÉMUNÉRATION À RISQUE ET LEURS BONIS, LES CADRES SUPÉRIEURS DU MINISTÈRE DU REVENU, TOUCHENT EN MOYENNE DES SUPPLÉMENTS DE REVENU DEUX FOIS SUPÉRIEURS À CEUX DES AUTRES MINISTÈRES.

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Une enquête de la CBC qui tombe à point nommé!

Nous avons publié hier des informations à l'effet que les cadres supérieurs de Revenu Canada peuvent toucher jusqu'à plus de 50,000$ par année, soit 26% de leur salaire maximum de 202,000$. 

Nous apprenons maintenant qu'ils sont choyés par la Fonction publique fédérale. Qu'ils obtiennent en moyenne 35,000$ alors que leurs collègues des autres ministères touchent en moyenne 18,000$ en rémunération supplémentaire annuelles.




Au Québec, les bonis et primes au rendement, ont été abolis en 2010 pour les cadres supérieurs du Ministère du Revenu. Seuls les fonctionnaires syndiqués y ont droit et c'est de l'ordre de 3,5%. 

lundi 29 janvier 2018

QUÉBEC N'A PAS ABOLI LES BONIS COMME PROMIS





Les bonis de 3,5% pour les employés syndiqués du Ministère du Revenu du Québec, existent toujours, malgré les promesses, il y a maintenant presque deux ans, du ministre Carlos Leitao et de son ministère de les abolir.






On avait refusé de reconnaître l’existence de tels bonis.

En décembre 2015, après la diffusion d’un reportage au réseau TVA et dans le Journal de Montréal, sur l’existence des bonis au Ministère du Revenu du Québec, le ministre des Finances et du Revenu Carlos Leitao avait d’abord refusé d’en reconnaître l’existence.

« Il n’y en a pas » avait alors déclaré le ministre suite à la diffusion de la nouvelle. En fait dans les heures qui suivirent non seulement le gouvernement Couillard, mais Revenu Québec avaient également nié l’existence d’une pratique au sein du ministère.

Pourtant dans le cadre d’un reportage portant sur une poursuite de 25M$ contre l’Agence du Revenu du Québec par l’homme d’affaires Richard Gravel de Laval, on pouvait entendre clairement deux vérificatrices filmées à leur insu parler clairement de leurs bonis de 3,5%.


Dans la foulée du reportage, le président du Syndicat des employés de la fonction publique du Québec Richard Perron




confirma officiellement l’existence de ces fameux bonis dont personne ne voulait parler à l’ARQ.


Puis on avait promis de les abolir.

Quelques mois plus tard, au printemps 2016, on avait publiquement promis de les abolir.  

Dans une entrevue avec le porte-parole de Revenu Québec Stephane Dion, le reporter de TVA Alain Laforêt, déclarait : que « Revenu Québec cherche à éliminer les bonis parce qu’ils sont trop associés à l’impression qu’elle impose des quotas de récupération à ses employés».




Ils sont toujours là.

Or presque deux ans après ces déclarations qui avait suivi les reportages du Bureau d’enquête de Québecor, nous apprenons que ces bonis de 3,5% aux employés syndiqués de Revenu Québec existent toujours.

Dans un courriel la porte-parole des relations publiques de Revenu Québec Geneviève Laurier, confirme « pour l’année financière 2016-2017, 571 employés de Revenu Québec ont reçu un boni au rendement, ce qui représente un montant total de 1 302 338 $. »



"Pour les fonctionnaires, le droit au boni n’a jamais été suspendu. Certains fonctionnaires peuvent recevoir un boni pour reconnaître une contribution exceptionnelle à la réalisation d’un mandat au sein d’une unité administrative, et ce, conformément à leurs conventions collectives ou à leurs conditions de travail" nous a déclaré Jean Auclair, de la direction des communications du Conseil exécutif et du Secrétariat du Conseil du trésor

Pour les professionnels syndiqués et les techniciens non-syndiqués, le montant du boni est toujours de 3,5% de leur traitement, soit le même pourcentage qu’au moment de la diffusion du reportage en décembre 2015, alors que grâce aux témoignages de deux vérificatrices de l’Agence du Revenu du Québec filmées à leur insu,  l’existence de tels bonis avait été mis à jour.




A OTTAWA LES CADRES DE L'ARC PEUVENT TOUCHER DES BONIS DE 50,000$ PAR ANNÉE



Alors que Québec, et la ville de Montréal ont annoncé la fin officielle des bonis pour les cadres supérieurs de l’Agence du Revenu du Québec (ARQ) et de ceux du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) responsables des constats d’infraction au code de la route, les cadres supérieurs de l’Agence du Revenu du Canada peuvent toucher des bonis et des suppléments de rémunération équivalant à 26% de leur salaire de base « lorsque leur rendement pour l’année est exceptionnel. »



Ces informations nous été officiellement confirmées par écrit par Revenu Canada et le Conseil du trésor du Canada.  Pour les cadres supérieurs de Revenu Canada, cela peut représenter des suppléments de revenus annuels de plus de 50,000$.




Montréal confirme.  

Au cours des derniers jours, la nouvelle administration de la ville de Montréal, a annoncé l’abolition des primes au rendement pour les cadres supérieurs du SPVM responsables des constats d’infraction aux automobilistes.


Jusqu’ici les cadres du SPVM pouvaient toucher des bonis jusqu’à 8% de leur salaire si des objectifs des constats d’infraction étaient atteints. Malgré les dénonciations du syndicat, l’existence de ces primes au rendement avait toujours été niée jusqu’ici par la ville. L’arrivée d’une nouvelle mairesse vient de changer la donne.

Ce n’est pas le cas à Ottawa où les primes annuelles au rendement pour les cadres supérieurs de Revenu Canada, sont depuis 2008, deux fois, sinon trois fois plus élevées qu’elles ne l’étaient à Montréal pour les constats d’infraction.

L’ARC (l’Agence du Revenu du Canada) nous confirme que ces bonis et suppléments de revenus sont établis « en fonction de l’évaluation des résultats atteints par rapport aux objectifs fixés. » Toutefois on refuse de préciser non seulement les « objectifs » mais quels mécanismes ou protocoles auraient pu être mis en place pour éviter les conflits d’intérêt, entre l’obtention de bonis et des suppléments de revenus. « Les cadres qui ne rencontrent pas les attentes de rendement annuelles identifiées dans leur entente de rendement n’obtiennent pas de rémunération au rendement » simplement écrit par courriel, Alain Belle-Isle porte-parole du Conseil du trésor.




« Au cours des cycles 2016-2017 et 2015-2016, nous a expliqué pour sa part le porte-parole de Revenu Canada Karl Lavoie, le pourcentage maximal associé à un niveau 5 était de 15% pour les cadres EX-01 à EX-03, et 26% pour les EX-04 et EX-05, le tout calculé en fonction du salaire admissible de l’individu. » L’échelle des cadres du gouvernement fédéral, varie d’une peu plus de 100,000$ à plus de 200,000$ pour les fonctionnaires de la classe EX-05.

Québec confirme avoir supprimé les bonis des cadres de l’ARQ, depuis 2010.

Depuis le premier avril 2010, malgré l’objectif d’un retour à l’équilibre budgétaire fixé par le gouvernement Charest, « aucun boni au rendement n’est accordé aux cadres » nous a confirmé Geneviève Laurier porte-parole de Revenu Québec. En revanche, contrairement aux employés syndiqués de la fonction publique fédérale, les professionnels syndiqués de l’ARQ sur le terrain et les techniciens non-syndiqués, peuvent toucher des bonis équivalents à 3,5% de leur salaire.

Au printemps 2016, après avoir nié leur existence, Revenu Québec avait fait part de son intention d’abolir de telles primes au rendement suite à un reportage diffusé sur le réseau TVA. Le porte-parole Stéphane Dion avait alors déclaré que Revenu Québec « cherche à éliminer les bonis parce qu’ils sont trop associés à l’impression qu’elle impose des quotas de récupération à ses employés ».

Nonobstant cet engagement public, les bonis pour les employés syndiqués existent toujours.  « Ces avantages sont conventionnés » nous a également expliqué le président Richard Perron, président du SPGQ.



Celui-ci n’a toutefois pas répondu à notre courriel, qui lui demandait s’il se sentait « inconfortable » avec cette situation où les employés de Revenu Québec, afin de toucher leurs bonis, peuvent possiblement être placés en conflits d’intérêt lors de l’examen des dossiers des contribuables.

Ainsi, pour l’année financière 2016-2017, 571 employés de Revenu Québec ont reçu un boni au rendement, représentant un montant total de 1 302 338  $.

La porte-parole de l’ARQ nie toutefois cette situation de conflit d’intérêt potentiel : « Revenu Québec ne verse aucune prime au rendement aux vérificateurs ni à ses autres employés en fonction des sommes qu’ils récupèrent.

Une telle pratique serait d’ailleurs contraire au code de déontologie de Revenu Québec. ».  Et de poursuivre : « Il n’y a pas d’attentes ou d’indicateurs en lien avec la récupération fiscale chiffrée, qui est communiquée à chaque employé sur une base individuelle».

Ottawa persiste.

Selon des informations obtenues auprès d’anciens employés de Revenu Canada, ces primes au rendement qui existent depuis 1999, ne sont pas toujours attribuées d’une façon objective et mesurable. Par exemple, contrairement aux « enquêtes » spéciales toujours aléatoires de par leur nature même, les enquêtes de « vérification » sur le terrain avec les « clients » peuvent déboucher sur des avis de cotisation tangibles, et donc à des revenus supplémentaires pour l’État.



Dans le cas des enquêtes dites « spéciales » les évaluations sont plus subjectives pour les fins d’attribution des primes au rendement. Mais dans un cas comme dans l’autre, ces bonus et supplément de revenu versés une fois par année, peuvent atteindre le taux maximum de 26% du salaire de base d’un cadre de l’Agence du Revenu du Canada, comme ceux des autres cadres de la fonction publique, situation qui n’existe plus au Québec depuis 8 ans, la seule province au pays à avoir sa propre Agence de revenu.

mercredi 19 avril 2017

AVEC DES TROP-PERÇUS DE 1,4G$ HYDRO-QUÉBEC EST DEVENU ENCORE PLUS UNE SUCCURSALE DU MINISTÈRE DU REVENU DU QUÉBEC

Michel Morin journaliste indépendant
Trop-perçus allocution du 18 avril 2017
centre saint-pierre, 1212 rue Panet, Montréal

Cette allocution rédigée à l’invitation de weroes est disponible sur notre blogue d’Hydro-Québec à l’adresse suivante :

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Bonsoir tout le monde,

Introduction.

Alors si je comprends bien vous faites partie des 4,000,000 d’abonnés qu’Hydro-Québec a surfacturé, je dis bien surfacturé, pendant 7 ans.

Le monopole était gourmand, très gourmand, c’est le moins qu’on puisse dire.

Les augmentations de tarifs de la régie ça ne suffisait pas pour Hydro-Québec; il en fallait plus pour augmenter le rendement de l’entreprise, pour toucher plus de revenus nets, pour toucher plus de profits.

Les abonnés d’Hydro-Québec ont été les victimes, de cette course aux profits qui s’ajoutait aux augmentations des tarifs d’électricité décrétées chaque année par la Régie de l’énergie, et cela pas pendant un an ou deux ans, pendant 7 ans, de 2008 à 2014 inclusivement.

dimanche 2 avril 2017

RICHARD GRAVEL AUGMENTE SA POURSUITE EN DOMMAGES CONTRE REVENU QUÉBEC À 39M$ ET AJOUTE L'AGENCE DU REVENU DU CANADA A TITRE DE DÉFENDEUR.




LAVAL, 28 MARS 2017/ - La société 9162-4676 Québec Inc. (« Trimax ») et son président, Richard Gravel, ont déposé une poursuite civile en dommages et intérêts contre Revenu Québec en février 2016 en raison notamment d’abus de pouvoir dans le cadre de vérification fiscale. Le 24 octobre 2016, Trimax et M. Gravel ont déposé des amendements à leur poursuite en faisant passer le montant de dommages réclamé de 25M$ à près de 39M$. De plus, l’Agence du revenu du Canada a été ajoutée à titre défenderesse dans le cadre de cette même poursuite.
Nous rappelons que les vérificateurs au dossier de M. Gravel se sont ventés d’avoir obtenu des bonis à la performance de 3.5% de leur salaire (« commissions ») et devoir « rapporter » à RQ une somme minimale variant entre 1000 à 1200$ de l’heure le tout ayant été capté sur audio/vidéo. Il ne fait aucun doute que l’impartialité de ces employés est grandement entachée en raison de ce fait et cause un préjudice irréparable aux entreprises de M. Gravel.
Depuis le début des procédures judiciaires, M. Gravel a reçu l’appui de plusieurs centaines d’hommes d’affaires, de professionnels ainsi que de citoyens ayant subi les mêmes préjudices de la part de RQ. La majorité de ces personnes suivent le dossier de près et participeront au recours collectif contre RQ précédemment annoncé.

Pour toutes informations et contact : M. Michel Morin michel@michelmorin.info et 514-917-1999

L'AGENCE DU REVENU DU CANADA SUPPORTE REVENU QUÉBEC MALGRÉ DES PRATIQUES ABUSIVES




LAVAL, 29 mars 2017/- Tel qu’indiqué dans le communiqué de presse du 28 mars dernier, la société Trimax et son président, Richard Gravel, ont ajouté l’Agence du revenu du Canada (l’« ARC ») à titre de défendeur dans le cadre de leur poursuite en dommages de 39M$. L’ARC, malgré les allégations troublantes à l’égard de RQ dans ce dossier, supporte RQ et agi de concert avec cette dernière depuis le début des procédures. Il est tout à fait inacceptable pour une organisation comme l’ARC de supporter des allégations aussi scandaleuses et de s’abstenir d’intervenir alors que RQ est son mandataire pour les fins de la TPS.
Nous rappelons que les vérificateurs au dossier de M. Gravel se sont ventés d’avoir obtenu des bonis à la performance de 3.5% de leur salaire (« commissions ») et devoir « rapporter » à RQ une somme variant entre 1000 à 1200$ de l’heure le tout ayant été capté sur audio/vidéo. Plutôt que de condamner ces pratiques et de faire entendre raison à RQ, l’ARC a décidé de supporter RQ malgré qu’elle eût décidé dans le passé de ne pas cotiser M. Gravel et Trimax pour les mêmes années en cause.
Nous croyons que l’ARC supporte RQ puisqu’elle a elle-même utilisé des méthodes plus que douteuses contre M. Gravel et ses entreprises en menaçant des employés d’émettre de fausses cotisations astronomiques contre eux et leur famille sur plus d’une décennie ainsi qu’en utilisant des méthodes de perception illégales tels que des saisies de maison et de comptes de placements.

Pour toutes informations et contact : M. Michel Morin michel@michelmorin.info et 514-917-1999

jeudi 9 mars 2017

CAFOUILLAGE A REVENU QUÉBEC POUR DES REVENUS MODESTES

http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201607/07/01-4998752-revenu-quebec-73-000-contribuables-victimes-dun-cafouillage.php


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Publié le 07 juillet 2016 à 10h22 | Mis à jour le 07 juillet 2016 à 10h22

Revenu Québec: 73 000 contribuables victimes d'un cafouillage

Au total, Revenu Québec a réclamé par erreur... (Photo André Pichette, Archives La Presse)
Au total, Revenu Québec a réclamé par erreur une cotisation à près de 73 000 contribuables, souvent à revenus modestes.
PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
André Dubuc
ANDRÉ DUBUC
La Presse
Les changements apportés au crédit d'impôt pour solidarité ont provoqué un cafouillage majeur chez Revenu Québec ce printemps. On connaît aujourd'hui le portrait exact du nombre de contribuables lésés, à la suite d'une demande d'accès à l'information.
Au total, ce sont 73 000 contribuables, souvent des gens à revenus modestes, à qui Revenu Québec a réclamé par erreur une cotisation. Le fisc leur réclamait des paiements reçus en trop au titre du crédit d'impôt pour solidarité (CIS) pour la période de janvier à juin 2016.

LES MÉTHODES DE REVENU QUÉBEC DÉNONCÉES

http://www.journaldequebec.com/2016/10/11/des-deputes-scandalises-par-les-methodes-de-revenu-quebec

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DES DÉPUTÉS SCANDALISÉS PAR LES MÉTHODES DE REVENU QUÉBEC.



Les députés de l’opposition sont scandalisés par les méthodes de collection utilisées par Revenu Québec.

François Bonnardel, de la Coalition avenir Québec, et Amir Khadir accusent l’agence québécoise du fisc d’avoir menti à propos des «objectifs quantitatifs de récupération fiscale» que devaient atteindre les inspecteurs. «Pendant des années, le ministre des Finances et Revenu Québec ont menti en niant l’existence de ces quotas», a affirmé le député de Granby à l’occasion d’une entrevue avec notre Bureau parlementaire.

SANS ENFANTS VOUS NE POUVEZ PAS VOUS EN SORTIR



http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/491419/ce-que-les-menages-paient-et-recoivent





Un plus grand fardeau fiscal pour les ménages sans enfant

Certaines catégories de revenus obtiennent moins de services que ce qu’elles contribuent à l’État, selon une étude




L’étude a analysé 13 cas types de ménages.
Photo: Pedro Ruiz Le DevoirL’étude a analysé 13 cas types de ménages.

Les couples sans enfant et les personnes seules figurent parmi les ménages dont les contributions à l’État sont supérieures à ce qu’ils reçoivent en transferts, prestations et services publics, selon une analyse effectuée par la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke.

Se basant sur 13 cas types, tous ménages confondus, les auteurs Antoine Genest-Grégoire et Luc Godbout ont établi 29 situations de revenus. Au final, 18 d’entre elles montrent la réception de bénéfices supérieurs aux contributions fiscales, alors que 11 contribuent davantage.


REVENU QUÉBEC TROP AGRESSIF AUX GOÛTS DU FÉDÉRAL

http://www.journaldemontreal.com/2016/10/07/revenu-quebec-trop-agressif-pour-le-federal

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Ottawa a épargné un contribuable que Québec avait sévèrement blâmé



Revenu Québec a été si sévère à l’endroit d’un Sherbrookois que l’Agence du revenu du Canada a refusé d’appliquer la même médecine à son endroit.
«Si ça n’avait pas été de Revenu Canada, je serais en faillite aujourd’hui. Ils n’ont pas voulu suivre Revenu Québec dans leur folie», dit la voix nouée Jean-Claude Bachand, encore marqué.


LE SYNDICAT DÉNONCE REVENU QUÉBEC

  1. http://www.newswire.ca/fr/news-releases/imposition-de-quotas-pour-les-verificateurs-de-revenu-quebec---le-spgq-denonce-une-pratique-indecente-562684901.html
  2. CLIQUEZ ICI POUR LE COMMUNIQUÉ DU SYNDICAT




Imposition de quotas pour les vérificateurs de Revenu Québec - Le SPGQ dénonce une pratique indécente


QUÉBEC, le 16 déc. 2015 /CNW Telbec/ - Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) dénonce haut et fort l'imposition de quotas reliés à la récupération fiscale et à la perception par les vérificateurs de Revenu Québec. « Nier publiquement cette pratique, tandis qu'un de nos membres se fait signifier la porte de sortie pour une atteinte en dessous des normes fixées par l'employeur, est parfaitement indécent et répugnant », condamne Richard Perron, président du SPGQ.


Le SPGQ digère mal que le porte-parole de Revenu Québec, Stéphane Dion, affirme publiquement aujourd'hui qu'il n'y a aucune attente quantifiée envers les employés de Revenu Québec, niant ainsi l'existence d'un système de quota dont la pratique serait contraire au code de déontologie de l'agence. « Notre membre, congédié en 2013, s'est fait reprocher de ne pas discriminer suffisamment les dossiers selon leur rentabilité pour Revenu Québec. Dès lors, comment nier l'existence de l'atteinte de normes ? », s'interroge Richard Perron.